Pourquoi le copywriting peut tout changer (ou presque)
Aujourd’hui, n’importe qui peut ouvrir une boutique en ligne. C’est rapide, accessible… et c’est justement ce qui rend la concurrence si féroce. Dans ce contexte, ce ne sont pas toujours les meilleurs produits qui gagnent. Ce sont ceux qui savent se vendre. Et c’est là que vos textes entrent en jeu.
Le copywriting – cette capacité à écrire pour convaincre – peut faire toute la différence entre un site qui reste invisible… et un site qui vend, vraiment. Si vos pages n’accrochent pas, ce n’est peut-être pas votre produit le problème. C’est peut-être juste une question de formulation.
Vous écrivez pour vendre, pas pour informer. Nuance.
Le vrai rôle des mots sur votre site
Un bon texte, ce n’est pas une fiche technique. C’est un dialogue. On oublie trop souvent qu’un visiteur lit avec ses émotions, pas avec une grille Excel à la main. Ce qu’il veut savoir ? Ce que votre produit va changer concrètement dans sa vie. Il veut se reconnaître, se projeter, ressentir.
Et ça, ça ne s’improvise pas
Écrire pour vendre, c’est comprendre son client, ses envies, ses doutes, ses freins. Et lui parler comme si vous étiez face à lui. Pas besoin de faire long. Il faut faire juste. Chaque phrase doit servir à faire avancer la lecture. Et chaque lecture, à se rapprocher d’une décision.
3 techniques simples mais efficaces pour écrire des textes qui vendent
1. La méthode AIDA (oui, elle fonctionne toujours)
AIDA, c’est un peu la boussole du copywriter.
- A pour Attention : captez l’œil avec une accroche qui tranche.
- I pour Intérêt : montrez que vous comprenez la situation du client.
- D pour Désir : faites-lui ressentir que votre produit est une solution.
- A pour Action : invitez-le à passer à l’étape suivante, simplement.
Avant de publier un texte, posez-vous cette question : est-ce que j’ai bien coché ces quatre cases ?
2. Un bon titre, c’est la moitié du boulot
Votre titre, c’est ce qui donne (ou pas) envie de lire la suite. Il doit être clair, direct, et toucher juste. Oubliez les tournures vagues. Allez droit au but.
3. Des CTA qui ne tournent pas autour du pot
« Découvrir », « Essayer », « Je veux ça »… Les appels à l’action doivent être visibles, concrets, et centrés sur ce que le client gagne. Pas sur ce que vous voulez qu’il fasse.

Les erreurs les plus fréquentes (et faciles à corriger)
Ce qui freine vos ventes sans que vous vous en rendiez compte
Des textes trop techniques. Des descriptions qui parlent du produit, mais jamais du client. Des pages qui oublient tout simplement de dire ce qu’il faut faire ensuite. Résultat : votre visiteur lit… puis part.
Ça se corrige. Parfois, il suffit d’enlever une phrase inutile, de reformuler un avantage ou de rendre un bouton plus clair. Rien de sorcier. Juste une relecture avec l’œil du client.
Comment progresser rapidement ?
Regardez comment écrivent ceux qui vendent bien. Pas pour copier, mais pour comprendre leur logique. Lisez à voix haute vos propres textes. Est-ce que ça sonne naturel ? Est-ce que ça donne envie ? Et surtout : testez. Rien ne remplace l’expérience.
En résumé : vos mots peuvent rapporter gros
Ce n’est pas une promesse en l’air : un bon texte peut transformer vos ventes. Pas besoin de tout réécrire ni d’être un pro du marketing. Il suffit souvent de mieux dire ce que vous avez déjà en tête.
Et c’est exactement ce que fait le copywriting : traduire vos idées pour qu’elles touchent votre client là où ça compte.
Alors, si vous sentez que vos textes sont plats, que vos pages n’accrochent pas ou que vos emails restent sans réponse… Prenez le temps de les relire.
Pas comme un vendeur.
Mais comme un client.
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